Ce cours couvre les fondamentaux de l'adressage IPv4, incluant la structure des adresses IP, les classes d'adresses, les masques de sous-réseau et le calcul des sous-réseaux, pour maîtriser la configuration et la gestion des réseaux informatiques. Ce PDF offre un support de formation gratuit de 14 pages, détaillant les concepts clés tels que le découpage en sous-réseaux, les adresses publiques et privées, ainsi que les méthodes de planification d'adressage. Il constitue une ressource pratique pour les étudiants et professionnels souhaitant approfondir leurs connaissances sur les réseaux IPv4.
Ce cours s'adresse aux administrateurs réseau, aux étudiants en informatique, aux ingénieurs systèmes et à toute personne souhaitant acquérir une compréhension approfondie de l'adressage IPv4. Les professionnels en reconversion ou les passionnés de réseaux trouveront également ce contenu utile pour renforcer leurs compétences techniques. Une connaissance de base des concepts réseau (comme les modèles OSI ou TCP/IP) est recommandée pour une meilleure assimilation du contenu.
Le protocole IPv4, défini dans les années 1980, reste la pierre angulaire des communications réseau malgré l'émergence d'IPv6. Une adresse IPv4 est un identifiant unique de 32 bits, souvent représenté sous forme de quatre octets séparés par des points (ex: 172.16.254.1). Chaque adresse contient deux parties : un préfixe réseau (identifiant le réseau) et un suffixe hôte (identifiant l'appareil).
Les classes traditionnelles (A à E) permettent une allocation hiérarchique. Par exemple, une classe A utilise le premier octet pour le réseau et les trois restants pour les hôtes, permettant jusqu'à 16 millions d'adresses par réseau. Cependant, cette rigidité a conduit à l'adoption du CIDR (Classless Inter-Domain Routing), permettant des masques de sous-réseau flexibles (ex: /24 pour un masque 255.255.255.0).
Le subnetting est essentiel pour optimiser l'espace d'adressage. En divisant un réseau en sous-réseaux, on réduit le broadcast domain et on améliore la sécurité. Par exemple, un réseau 192.168.1.0/24 peut être divisé en quatre sous-réseaux /26 avec des plages d'adresses distinctes.
Enfin, les réseaux privés (comme 10.0.0.0/8 ou 192.168.0.0/16) sont cruciaux pour les infrastructures internes, tandis que le NAT permet à ces adresses privées d'accéder à Internet via une seule adresse publique, palliant temporairement la pénurie d'adresses IPv4.
Partner sites PDF Tutorials (English) | PDF Manuales (Spanish) | Cours PDF (French)